Résumé du sermon du Calife

Les expéditions d’Abdullah bin Rawahah (ra) et Amr bin Umayyah Damri (ra)

Résumé du sermon du vendredi 17 janvier 2025 prononcé par Sa Sainteté Mirza Masroor Ahmad (a.b.a.).

Après avoir récité le Tashahhud, le Ta‘awwuz et la Sourate al-Fatihah, Sa Sainteté, Hazrat Mirza Masroor Ahmad (aba), a déclaré qu’il poursuivrait son récit des expéditions de la vie du Saint Prophète (sa).

Expédition d’Abdullah bin Rawahah (ra)

Sa Sainteté (aba) a évoqué l’expédition d’Abdullah bin Rawahah (ra), qui eut lieu au cours de Shawwal, en l’an 6 de l’Hégire. Après la mort d’Abu Rafi’, les Juifs désignèrent Usair bin Rizam comme leur chef. Ce dernier déclara qu’il serait différent des chefs juifs précédents et qu’il ne permettrait pas au Saint Prophète (sa) de triompher des Juifs durant son mandat. Il entreprit de visiter diverses tribus juives pour les inciter à combattre le Saint Prophète (sa).

Sa Sainteté (aba) a cité Hazrat Mirza Bashir Ahmad (ra), qui écrit :

« Lorsque le Saint Prophète (sa) fut informé de la situation, il envoya immédiatement un compagnon ansari du nom d’Abdullah bin Rawahah (ra) accompagné de trois autres compagnons à Khaybar. Il leur donna pour mission de voyager discrètement, de recueillir des renseignements sur la situation et de revenir rapidement. Abdullah bin Rawahah (ra) et ses compagnons s’acquittèrent de leur tâche avec beaucoup de vigilance. Ils parvinrent à obtenir des informations détaillées en se rendant près des forteresses de Khaybar et en observant les lieux de rassemblement d’Usair bin Rizam. Ils entendirent personnellement les plans qu’Usair et ses compagnons fomentaient contre le Saint Prophète (sa).

Pendant cette période, un non-musulman nommé Kharijah bin Husail arriva par coïncidence à Médine en provenance de Khaybar. Confirmant les rapports d’Abdullah bin Rawahah (ra), il déclara : « Usair rassemblait ses armées pour attaquer Médine. » 

Après cette vérification, le Saint Prophète (sa) envoya trente compagnons sous la direction d’Abdullah bin Rawahah (ra) à Khaybar. Les directives précises qu’il leur donna lors de leur départ ne sont pas clairement établies. Toutefois, d’après le dialogue qui eut lieu entre Abdullah bin Rawahah (ra) et Usair bin Rizam à Khaybar, il apparaît que le souhait du Saint Prophète (sa) était d’inviter Usair à Médine pour conclure un accord mutuel, permettant ainsi de mettre fin aux troubles et d’instaurer un état de paix et de sécurité dans la région. Le Saint Prophète (sa) tenait tellement à cet objectif qu’il était même prêt à reconnaître Usair comme chef de la région de Khaybar, à condition qu’il s’abstienne de fomenter d’autres troubles contre l’Islam. 

À leur arrivée à Khaybar, le groupe dirigé par Abdullah bin Rawahah (ra) s’assura d’abord qu’Usair bin Rizam garantisse la paix et la sécurité durant les discussions. Cela montre à quel point la menace était devenue sérieuse, les musulmans redoutant que le groupe d’Usair ne trahisse même pendant les négociations. Usair assura qu’il ne se comporterait pas de manière déloyale mais, pour préserver sa dignité, il demanda également une garantie similaire à Abdullah bin Rawahah (ra). Le fait qu’Abdullah bin Rawahah (ra) ait pris cette précaution en premier montre clairement qui représentait la véritable menace. 

Une fois l’accord établi, Abdullah bin Rawahah (ra) entama les discussions avec Usair. Le point central de ces discussions était que le Saint Prophète (sa) souhaitait conclure un pacte de paix et de sécurité afin de mettre fin aux conflits. La meilleure solution, selon lui, était qu’Usair se rende à Médine pour rencontrer personnellement le Saint Prophète (sa). Abdullah bin Rawahah (ra) exprima sa confiance que, si un tel accord était conclu, le Messager d’Allah traiterait Usair avec bienveillance et pourrait même le reconnaître comme le chef officiel de Khaybar. 

Usair, avide de pouvoir ou mû par d’autres motifs, se montra satisfait de cette proposition – ou du moins, il le laissa paraître. Cependant, il consulta les ministres juifs, leur expliquant la proposition des musulmans et leur demandant conseil. Ces derniers, aveuglés par leur hostilité ignorante, s’opposèrent fermement à cette idée. Pour dissuader Usair, ils dirent : « Nous ne croyons pas que Muhammad (sa) t’acceptera comme chef de Khaybar. » 

Usair, qui avait une meilleure connaissance de la situation, resta ferme dans son intention et répondit : « Vous ne comprenez rien. Muhammad (sa) est las de cette guerre et, dans son cœur, il souhaite y mettre fin à tout prix. »

Ainsi, Usair bin Rizam se prépara à se rendre à Médine avec le groupe d’Abdullah bin Rawahah (ra) et, tout comme ce dernier, il amena trente Juifs avec lui. Lorsque ces deux groupes quittèrent Khaybar et atteignirent un endroit appelé Qarqarah, situé à environ 10 km de Khaybar, les intentions d’Usair changèrent. Ou peut-être, s’il avait déjà des intentions malveillantes, le moment était-il venu de les dévoiler. 

Pendant une conversation, Usair tenta habilement de s’emparer de l’épée d’un honorable compagnon musulman, Abdullah bin Anis Ansari (ra). Ce dernier comprit immédiatement les véritables intentions de cet homme perfide. Il pressa alors son chameau pour prendre de l’avance, puis se retourna vers Usair et lui dit : 

« Ô ennemi de Dieu ! As-tu l’intention de nous trahir ? » 

Abdullah bin Anis (ra) répéta cette question deux fois, mais Usair ne répondit pas et ne tenta pas de se disculper. Au lieu de cela, il se prépara au combat. Il s’agissait probablement d’un signal convenu parmi les Juifs : en cas de tension, tous devaient attaquer les musulmans. Ainsi, sur ce chemin, un combat éclata entre les Juifs et les musulmans. 

Bien que les deux groupes fussent égaux en nombre et que les Juifs, mentalement préparés, aient surpris les musulmans, totalement inattentifs, la grâce de Dieu fut telle qu’aucun musulman ne perdit la vie, bien que certains fussent blessés. À l’inverse, chaque Juif goûta à sa propre traîtrise et fut anéanti. 

Lorsque le groupe revint à Médine et que le Saint Prophète (sa) fut informé de ce qui s’était passé, il remercia Dieu pour le retour sain et sauf des musulmans et déclara : 

« Loué soit Dieu, qui vous a sauvés de cette nation cruelle. »

En lien avec cet événement, divers historiens chrétiens ont accusé le groupe d’Abdullah bin Rawahah (ra) d’avoir emmené Usair et ses compagnons hors de Khaybar avec l’intention de les tuer à la première occasion. Cependant, cette accusation n’est qu’une démonstration regrettable de l’obstination anti-islam occidentale. Comme mentionné précédemment, aucune preuve historique ne suggère que les musulmans avaient une telle intention. 

En fait, si l’on réfléchit, ne serait-ce que sur les paroles d’Abdullah bin Anis (ra) : « Ô ennemi de Dieu, as-tu l’intention de nous trahir ? » et celles du Saint Prophète (sa) : « Loué soit Dieu, qui vous a sauvés de cette nation cruelle », suffisent à prouver que les intentions des musulmans étaient parfaitement pures et pacifiques. Ce qui s’est produit était uniquement le résultat de la trahison que les Juifs avaient l’intention de commettre contre les musulmans, conformément à leurs habitudes. Par la grâce de Dieu, leur complot s’est retourné contre eux. »

(The Life and Character of the Seal of Prophets (sa), vol. 3, pp. 101-105)

L’Expédition d’Amr bin Umayyah Damri (ra)

Sa Sainteté (aba) évoqua l’expédition d’Amr bin Umayyah Damri (ra), qui fut envoyée en direction d’Abu Sufyan. Il cita Hazrat Mirza Bashir Ahmad (ra), qui écrit :

« Les historiens ne s’accordent pas sur la date de cette expédition. Ibn Hisham et Tabari l’ont située en l’an 4 de l’Hégire, tandis qu’Ibn Sa‘d l’a placée en l’an 6. Allamah Qustalani et Zurqani donnent la priorité à la version d’Ibn Sa‘d, c’est pourquoi je l’ai également mentionnée parmi les récits de l’an 6 de l’Hégire. En vérité, Allah sait mieux. Baihaqi a également soutenu les détails relatés par Ibn Sa‘d, mais ces récits ne permettent pas de déterminer avec certitude la période exacte où cet événement a eu lieu. »

(The Life and Character of the Seal of Prophets (sa), vol. 3, p. 108)

Sa Sainteté (aba) cita ensuite Hazrat Mirza Bashir Ahmad (ra), qui décrit cette expédition comme suit :

« Le souvenir de leur échec humiliant lors de la bataille des Ahzab enflamma les Quraish de La Mecque. Cette rage intérieure toucha naturellement Abu Sufyan de manière plus intense, lui qui était le chef de La Mecque et qui avait été particulièrement humilié durant l’expédition des Ahzab. Pendant un certain temps, Abu Sufyan fut consumé par cette colère, mais à la fin, il ne put plus la contenir, et les flammes de sa haine éclatèrent au grand jour.

L’objet principal, voire exclusif, de leur inimitié était la personne du Saint Prophète (sa). Abu Sufyan pensa donc que si les stratégies et complots ouverts n’avaient pas donné de résultats, pourquoi ne pas tenter de mettre fin à la vie de Muhammad (sa) par un stratagème secret ?

Il savait qu’aucune garde officielle n’était placée autour du Saint Prophète (sa). Au contraire, celui-ci se déplaçait souvent librement, marchant dans les rues et ruelles de la ville sans protection. Le Saint Prophète (sa) se rendait à la mosquée au moins cinq fois par jour pour la prière (Salat) et restait accessible, même en voyage. Quelle meilleure opportunité pour un assassin ?

Dès que cette pensée lui vint à l’esprit, Abu Sufyan commença secrètement à élaborer un plan pour assassiner le Saint Prophète (sa). »

Lorsqu’il fut fermement décidé à exécuter son plan, un jour, profitant d’une occasion, Abu Sufyan s’adressa à quelques jeunes Quraishites partageant ses intentions et leur dit :

« Savez-vous que Muhammad (sa) se promène librement dans les rues et ruelles de Médine ? »

Ces jeunes hommes, excités par cette information, partirent rapidement. Peu de temps après, un jeune bédouin se présenta à Abu Sufyan et lui dit :

« J’ai entendu parler de votre proposition et je suis prêt à agir. Je suis un homme fort et expérimenté, avec une poigne ferme et un coup rapide. Si vous me confiez cette mission et m’aidez, je suis prêt à partir pour tuer Muhammad (sa). Je possède une dague, aussi discrète que les ailes cachées d’un vautour sauvage. J’attaquerai Muhammad (sa) et rejoindrai ensuite une caravane, rendant impossible ma capture par les musulmans. De plus, je connais parfaitement les rues de Médine. »

Abu Sufyan répondit :

« Parfait, parfait. Tu es l’homme qu’il nous faut. »

Il lui donna un chameau rapide et de quoi se nourrir pour le voyage, tout en insistant fortement sur le fait de ne révéler ce secret à personne.

Après avoir quitté La Mecque, l’homme se dirigea vers Médine, voyageant de nuit et se cachant durant la journée. Il atteignit Médine la sixième nuit. Ayant repéré la position du Saint Prophète (sa), il se rendit directement à la mosquée des Banou Abdul-Ashhal, où le Prophète (sa) était présent. En ces jours, de nombreuses nouvelles personnes arrivaient à Médine, ce qui fit que personne parmi les musulmans ne se méfia de lui.

Cependant, dès que le Saint Prophète (sa) le vit s’approcher, il déclara :

« Cet homme vient avec de mauvaises intentions. »

Entendant ces paroles, l’homme accéléra son approche, mais Usaid bin Hudair (ra), un chef des Ansars, bondit immédiatement et le saisit. Pendant la lutte, Usaid mit la main sur la dague cachée de l’homme, qui cria alors, terrifié :

« Je suis perdu ! Je suis perdu ! »

Une fois maîtrisé, le Saint Prophète (sa) lui demanda :

« Dis-moi la vérité : qui es-tu et dans quel but es-tu venu ? »

L’homme répondit :

« Si ma vie est épargnée, je dirai tout. »

Le Saint Prophète (sa) dit :

« Oui, raconte toute la vérité, et tu seras pardonné. »

L’homme raconta alors l’intégralité de l’histoire, depuis le début jusqu’à la fin, y compris la récompense promise par Abu Sufyan. Il resta à Médine pendant quelques jours et, de son propre gré, se convertit à l’islam, entrant ainsi au service du Saint Prophète (sa).

Cette conspiration dangereuse d’Abu Sufyan rendit encore plus nécessaire qu’auparavant de surveiller les complots et les intentions des habitants de La Mecque. Ainsi, le Saint Prophète (sa) envoya deux de ses compagnons, Amr bin Umayyah Damri (ra) et Salmah bin Aslam (ra), à La Mecque. Compte tenu de la tentative d’assassinat d’Abu Sufyan et de ses plans meurtriers antérieurs, le Saint Prophète (sa) permit à ses compagnons de mettre fin à cet ennemi juré de l’islam, si l’occasion se présentait.

Cependant, lorsqu’Amr (ra) et son compagnon arrivèrent à La Mecque, les Quraishites furent alertés, contraignant les deux musulmans à retourner à Médine en défendant leur vie. Sur le chemin du retour, ils rencontrèrent deux espions Quraishites envoyés par leurs chefs pour recueillir des informations sur les mouvements des musulmans et sur le Saint Prophète (sa).

Il n’est pas surprenant que ce plan ait pu être une base pour une autre conspiration meurtrière des Quraishites. Par la grâce de Dieu, Amr (ra) et Salmah (ra) découvrirent les espions et décidèrent de les attaquer et de les capturer. Une bataille s’ensuivit : l’un des espions fut tué et l’autre fut fait prisonnier et ramené à Médine. »

(The Life and Character of the Seal of Prophets (sa), vol. 3, pp. 106-108)

Sa Sainteté (aba) a déclaré qu’il continuerait à évoquer ces incidents à l’avenir.

Appel à la prière face aux injustices au Pakistan et à la duplicité des puissances mondiales

Sa Sainteté (aba) a déclaré qu’il attire constamment l’attention sur l’importance des prières pour le Pakistan, où les conditions deviennent parfois extrêmement critiques. Il semble que le gouvernement soit sous l’emprise des extrémistes. Auparavant, seuls les minarets ou les dômes de nos mosquées étaient détruits, mais hier encore, sous prétexte de construire une route et sous l’influence des clercs, une mosquée entière de la Communauté Ahmadiyya, bâtie avant même la partition de l’Inde et du Pakistan, a été rasée par un bulldozer. Ces conditions sont alarmantes, et seul Allah Tout-Puissant peut châtier rapidement ces individus et retourner leurs actions contre eux-mêmes. Par conséquent, les Ahmadis doivent se concentrer intensément sur les prières.

Sa Sainteté (aba) a également évoqué la situation en Palestine, où, bien qu’un accord ait été annoncé, des incidents continuent de se produire. Certains se réjouissent de cet accord, mais les forces de l’antéchrist ne sont pas dignes de confiance. Elles disent une chose et en font une autre. Ainsi, il n’y a aucune raison de se réjouir prématurément ; au contraire, il faut intensifier les prières. Les musulmans doivent faire preuve de sagesse pour obtenir leurs droits, et qu’Allah Tout-Puissant leur accorde cette capacité.

Prières funéraires

Sa Sainteté (aba) a mentionné qu’il ferait mention de quelques membres décédés de la Communauté et dirigerait leurs prières funéraires en leur absence.

Sheikh Mubarak Ahmad 

Sheikh Mubarak Ahmad était Nazir Diwan à Rabwah. Il a exercé comme enseignant au lycée Talimul Islam pendant environ 15 ans avant d’enseigner dans plusieurs autres écoles publiques. Il a servi la Communauté pendant 40 ans et a dédié sa vie au service de la foi sous le califat du Quatrième Calife (rh). Par la suite, il a occupé divers postes de responsabilité, y compris au sein des organisations auxiliaires de la Communauté. 

Il encourageait les missionnaires à développer un lien profond avec Dieu et était assidu dans ses prières. Lors de chaque réunion, il conseillait à tous de rester attachés au Khilafat et priait pour que ses enfants fassent de même. Il a rempli son engagement de dévouement, une qualité attestée par Sa Sainteté (aba), qui a également travaillé à ses côtés. Sheikh Mubarak Ahmad était exemplaire en matière de donner préséance à sa foi sur les affaires du monde. Il aspirait toujours à continuer de servir, même lorsqu’il était malade. Quand ses enfants lui demandaient de se reposer, il répondait que sa retraite viendrait au moment de son décès. 

Il avait une passion étudier et était constamment en train de lire. Il maîtrisait bien les règles et lois de la Communauté. Il laisse dans le deuil son épouse, six filles et un fils. Sa Sainteté (aba) a prié pour qu’Allah lui accorde Son pardon et Sa miséricorde. 

Muhammad Munir Adelvi

Muhammad Munir Adelvi, résidant du Qatar, laisse dans le deuil trois fils et une fille. Il était très actif dans la propagation de la foi et était un orateur talentueux. Il a participé à certains programmes du Quatrième Calife (rh) qu’il faisait avec des arabophones sur Muslim Television Ahmadiyya (MTA) et a écrit dix livres. Bien qu’il ait accepté l’Ahmadiyyat relativement récemment, il a accompli un travail remarquable. 

En raison de ses efforts de propagation, il a affronté une grande opposition et a même été emprisonné en Syrie pendant un certain temps. De nombreuses personnes ont accepté l’Ahmadiyyat grâce à son travail. Dévoué au Khilafat, il avait consacré sa vie à l’Ahmadiyyat. Il a également traduit plusieurs ouvrages de l’anglais vers l’arabe. Humble de nature, il suivait tous les programmes de Sa Sainteté (aba) sur MTA et veillait à accomplir ses contributions financières avant son décès. 

Il intervenait souvent dans des émissions télévisées pour présenter la perspective musulmane ahmadie, malgré les menaces de mort qu’il recevait. Il saisissait toute occasion pour parler du Messie Promis (as) et de l’Ahmadiyyat. Sa Sainteté (aba) a prié pour qu’Allah lui accorde Son pardon et Sa miséricorde, et permette à ses enfants de perpétuer ses vertus. Qu’Allah élève son rang.

Abdul Bari Tariq

Abdul Bari Tariq de Rabwah était responsable du département Informatique de la Waqf-e-Jadid à Rabwah. Il a été atteint d’un cancer, et lorsqu’il a écrit au Quatrième Calife (rh), ce dernier lui a prescrit un médicament homéopathique, ce qui lui a permis de vaincre la maladie. C’est à ce moment-là qu’Abdul Bari Tariq a exprimé son souhait de consacrer sa vie au service de la foi. Il a rendu de grands services en informatisant tous les bureaux de la Communauté, ainsi que les systèmes hospitaliers Ahmadiyya au Nigeria et au Bénin. Il laisse dans le deuil sa mère, son épouse, un fils, et cinq frères et sœurs. Il a servi la Communauté de manière totalement désintéressée pendant 21 ans, établissant un exemple pour toutes les personnes ayant dédié leur vie au service de la foi. Il s’était juré de servir jusqu’à son dernier souffle, ce qu’il a accompli. Sa Sainteté (aba) a prié pour qu’Allah fasse preuve de pardon et de miséricorde à son égard.

Résumé préparé par La Revue des Religions

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