Existence de Dieu

À la rencontre du Dieu vivant à Maurice

Les membres de Lajna Ima’illah témoignent régulièrement de l'existence divine. Les prières au calife, avant chaque événement, ont conduit à des progrès notables, soulignant ainsi la manifestation divine dans leurs efforts.

L’une des responsabilités prééminentes de la Lajna Ima’illah, l’organisation dédiée aux femmes au sein de la communauté musulmane Ahmadiyya, réside dans la planification et l’organisation d’événements tout au long de l’année. Divers programmes sont soigneusement élaborés, que ce soit pour l’ensemble des femmes ou pour des cohortes spécifiques en fonction de leur tranche d’âge. Au cours de mon mandat en tant que présidente de cette organisation féminine, de nombreuses membres ont eu l’occasion de témoigner à maintes reprises de la manifestation de l’existence divine, grâce aux prières émanant de notre calife (a.b.a.).

Préalablement à chaque événement, une lettre est rédigée à l’attention de Sa Sainteté, le calife (a.b.a.), sollicitant ses prières pour le succès de nos projets. Il est impératif de souligner qu’à chaque envoi préalable de cette correspondance, des progrès significatifs ont invariablement été accomplis, et une quiétude ainsi qu’une allégresse ont imprégné nos efforts. Il est manifeste que lors des journées où pareille lettre n’a pu être rédigée à l’attention du calife, une disparité immédiate s’est fait ressentir. Malgré le dévouement inlassable déployé, la réalisation de notre objectif s’est avérée infructueuse.

Je tiens à relater un incident singulier survenu en décembre 2018 lorsqu’un pique-nique fut organisé sur la plage de Belle Mare. À cette occasion, du biryani, un mets de riz, avait été préparé afin de rafraîchir les 450 membres présents.

Quelques jours avant notre départ, des précipitations ont débuté, évoluant rapidement en une pluie torrentielle. Des messages provenant de femmes à travers toute l’île ont afflué, exprimant leur préoccupation et sollicitant le report du pique-nique. En réaction, j’ai assuré que nous consoliderions nos prières collectives, plaçant ainsi notre entière confiance en Allah le Tout-Puissant. La situation à Belle Mare s’est révélée critique, avec des accumulations d’eau à divers endroits, néanmoins, nos projets ont été maintenus. Une requête de prière a également été transmise au calife (a.b.a.).

Le jour de l’événement, nous avons été accueillis par un soleil resplendissant dans un ciel azur. La présidente locale de la communauté à Triolet, accompagnée de plusieurs membres de Lajna venant du nord de l’île, a relaté qu’une averse s’était déclenchée lors de leur approche de Belle Mare. Elles ont promptement entamé la prière, entraînant un retour rapide du soleil. En cette journée mémorable, un sentiment de gratitude envers Allah le Tout-Puissant s’est emparé de nous toutes. Nous L’avons remercié pour la bienveillance d’une journée radieuse et pour la sérénité météorologique, nous permettant de témoigner de Sa grandeur.

Quelques temps après, le 26 janvier 2019, la Lajna Ima’illah a orchestré un programme de tabligh (prédication). À cette époque, une dépression tropicale menaçait l’île Maurice, engendrant des conditions météorologiques défavorables. Cependant, plutôt que de différer l’événement, nous avons entrepris la rédaction d’une lettre au calife, sollicitant ses prières, tout en nous engageant également dans une prière collective. Par la grâce d’Allah, le jour de l’événement s’est caractérisé par une clémence météorologique inattendue.

En mars 2020, une jalsa (convention) a été tenue pour commémorer le Messie Promis (a.s.). Cela coïncidait avec la période précédant le confinement de l’île Maurice en raison du Covid-19. Malgré des averses soutenues à ce moment-là, la décision de ne pas annuler l’événement a été prise. Une requête de prière a été adressée au calife actuel (a.b.a.). La pluie a perduré pendant le programme, mais par la grâce d’Allah, non seulement les membres de la communauté ont pu se mettre à l’abri, mais aucune perturbation météorologique n’a entravé notre programme avant ou après.

Je désire relater un dernier incident survenu lorsqu’une randonnée fut organisée par la Lajna Ima’illah dans le sud de l’île, à Rivières des Anguilles. Conformément à la tradition, une requête de prière fut adressée au calife (a.b.a.). Les Ansar (organisation des hommes âgés de plus de quarante ans au sein de la communauté musulmane Ahmadiyya), qui étaient responsables de l’excursion, me notifièrent la veille de l’événement qu’ils avaient effectué une reconnaissance du parcours et constaté que les rivières avaient débordé de leurs rives. Un individu non-Ahmadi qui les accompagnait suggéra le report de l’événement. Leur réponse fut prononcée avec sérénité, assurant que le lendemain se déroulerait sans encombre, une constance inhérente à ce groupe de personnes en particulier. Toute louange revient à Allah ; ce fut effectivement le cas !

En ce qui concerne l’efficacité des prières, je souhaite partager un extrait de Mirza Ghulam Ahmad (a.s.), le Messie Promis et l’Imam Mahdi :

Il advient parfois qu’une prière ne soit pas acceptée. Dans de tels cas, la possibilité existe que la prière soit agréée d’une autre manière, notamment en sollicitant les prières d’une personne vertueuse, tout en invoquant simultanément la clémence divine pour que Dieu accepte la prière de cette personne vertueuse. À maintes reprises, cette méthode s’est avérée fructueuse dans l’acceptation des prières.

Nos califes, investis divinement comme successeurs du Messie Promis (a.s.), jouissent d’une élévation spirituelle et d’un statut de piété singuliers. Le Dieu Tout-Puissant manifeste Sa présence de diverses manières, dont l’une réside dans l’acceptation des prières de Son calife désigné. Ces récits illustrent de manière singulière la manière dont les prières de notre calife sont exaucées, constituant ainsi une preuve suffisante de l’existence du Dieu Tout-Puissant.